Depuis quelques années, nous avons entamé un inventaire des hyménoptères
pompilidés du nord-ouest de la France (Massif armoricain et départements
voisins). Il s'agit d'un groupe d'étude dont l'identification est
parfois difficile, la capture parfois "sportive", mais aux moeurs
captivantes.
Avec désormais 2338(*) données engrangées qui correspondent à 4145 spécimens, nous commençons
à avoir une certaine idée des espèces présentes dans nos régions
(79 taxons maintenant -mai 2011- données contemporaines et simples citations plus anciennes).
Cartes :
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Nous aider :
Si vous désirez participer à cette entreprise, vous pouvez nous
aider de plusieurs façons :
- vous capturez les pompiles que vous
rencontrez. Les recherches et les piégeages sont à mener surtout
entre avril et fin octobre ;
- vous nous les faites parvenir (étalés, en alcool à 60-70° ou
tout autre mode de conservation).
- vous nous signalez si vous découvrez des individus dans des
collections privées ou publiques ;
- vous nous faite connaître l'existence de données bibliographiques
plus ou moins anciennes (petites revues de "sociétés savantes"
auxquelles nous n'avons pas forcément accès) ;
- nous sommes très preneurs également de pompiles capturés avec
leur araignée (l'araignée peut être conservée dans un petit flacon
contenant de l'alcool à 60-70°), les données sur la biologie de
ces hyménoptères faisant beaucoup défaut ;
- enfin, si vous-même voulez vous pencher sur les pompiles, nous
sommes bien sûrs prêts à échanger des informations sur les moyens
de les observer, les identifier, leur biologie, leur écologie...
Compte tenu des difficultés de détermination, nous tenons néanmoins
à vérifier toutes les identifications, au moins dans un premier
temps. Nous sommes d'ailleurs amenés fréquemment à faire vérifier
certains spécimens par des spécialistes du groupe (F. Durand,
R. Wahis).
Dans tous les cas, le maximum d'information sera bienvenu. Pour
les spécimens mis à notre disposition, a minima, le département,
la commune, la date, l'identité du récolteur.
Les photographies sont toujours appréciables car les vues de bonne
qualité de ces insectes "nerveux" restent rares. Elles ne permettent
malheureusement une identification que chez de très rares espèces.

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